Oui, car ce n'est qu'un au revoir, chère grande Dame du music-hall (et des "planches") parce que votre talent, restera dans nos mémoires, à jamais, gravé. Tous ces instants, de pure joie, de rires et de chansons.
     Merci, merci, et encore merci, pour tous ces bons moments que je vais tenter d'évoquer ici, bien modestement, car, vu l'étendue et la variété de vos talents, veuillez me pardonner, si j' y laisse quelques lacunes.
    Artiste de variété, cela vous va comme un gant, avec toute la brillance et la noblesse, qu'il faudrait redonner à cette expression, tellement galvaudée, par les Trissotins du commentaire artistique, (comme disait ce cher José Artur). Je préfère dire les enclumeurs de mouches, restons correct =(;o)).
    La danse, vous l'avez commencée bien jeune, à 8 ans, et on la retrouve partout, dans vos chansons, vos sketches, et autres performances tellement diverses. C'est votre marque de fabrique, même comme actrice, vous vous déplaciez avec grâce, comme une danseuse.

    Elle est présente dès le début début, la danse, un charleston endiablé !
P.S. remarquez la présence drôlatique et déjà frt brillante de Messieurs Jean Carmet jeune et Louis de Funès, plus jeune également, qui avec un autre comédien, donne une image prémonitoire des papys du "Muppet's show"  c'est assez surprenant, non ?

Vous avez, chère Annie, touché à tous les genres, même à la chanson (presque) coquine, et ce, bien avant Marie-Paule Belle, une grande interprète elle aussi.
 

Remarquable comédienne vous avez côtoyé les plus grands, comme ici, en répétition avec Bourvil, au théâtre Sébastopol ( de Lille, je présume)

Bourvil, que vous retrouvez aussi dans de nombreuses opérettes, genre décrié, remplacé par des comédies musicales (souvent réussies mais parfois improbables). Pourtant la différence est terriblement mince entre ces deux genres, n'est-ce pas ?

Tellement d'opérettes et de comédies musicales, avec tellement de partenaires prestigieux, qu'il serait impossible de le répertorier ici, mais en voici néanmoins, quelques échantillons.

Et il y eut aussi quelques pépites étonnantes, comme époustouflante de justesse, cette reprise de Louis Prima, (la danse, toujours la danse) et ces paroles nouvelles et décapantes, d'une chanson de Charles Aznavour ...
(mais celui qui a mis cette dernière vidéo en ligne, ne sait manifestement pas recopier un titre )

Voilà, très chère Annie, un bien chétif aperçu, de votre si longue carrière, si riche, si prolifique, que les lecteurs curieux ou lectrices fouineuses, pourront aimablement compléter en allant consulter votre biographie sur Wikipédia et sur votre site officiel, bien à votre image, ..... époustouflant
(Je sais, je me répète, mais suis bien incapable de trouver autre chose)

R I D E A U !

Voueïï, une religieuse, parce que les madeleines à la longue, même salaces, ça lasse, hélas, Ménélas ! Un peu sèche à la langue, la Madeleine, alors que la Religieuse Mmmm .... (selon le Père Denis) Popol-Sailor arrête de fantasmer, tu fais peur aux tizenfants qui nous écoutent derrière la porte et nous lisent (?va savoir?) d'une oreille attentive et curieuse à la fois.

Et même tout un paquet, de vieux airs du pays au doux rythme enchanteur, dont chacun sait que chaque note est comme une petite soeur (ou pas !)

Alors alors les anciens du Post.fr, que Rosemar n'a point connu, (si je ne me trompe pas), mais qui ressemblait furieusement à son sentiment sur agoravox (populi et donc dei. Aaaamen) ....

Alors, lesquels d'entre-parmi-vous ont connu, ça:

(ah çà Monsieur à deux pas d' Yssy,  vous le ferai gai savoir).

Joyeux indicatif d' une émission culte qui rapporta moult deniers à Franck et à Daniel

Serait-ce un quouize ? Bah c'est vous qui voyez, Public-chéri-mon-amour (P.D.), mais c'est archi connu

J' aime aussi cette version, qué bien dansante (ou pas ! ) yark-yark, oui je ris cane, jerrycan, en catimini en apparté (et même en loucedé parfois)  en fait pas du tout je ris, le plus souvent, ça comme         

Et continuons joyeusement à plonger dans la boîte de gâteaux, un "spécial fille"

(et une pensée émue pour Léo, le poète lion)

Et pis tiens, tant qu' à faire dans le dégoulinant,

(même pas vrai, car repris par J.C., la star des repreneurs, ça décoiffe)

on en remet une couche,

pourtant je vous assure que cette page n' est aucunement sponsorisée par Pimpers (faute volontaire)

Alleï, alleï,  on n'est pas venu là pour dormir non plus, une fois, et si je parle comme ça, donc, c'est que j'ai vu et bien écouté, ces jeunes gens là hein, au Twenty-Club à Mouscron, vers 65/67, chanter les portes du pénis entier, qui allait se fermer, et  conjuguez-moi donc, 4 ou 5 fois,  le verbe contrepéter, à tous les temps de l'indicatif, de l'impératif, de l'apéritif, du subjonctif et du supplétif pour vot' peine !

mais là, faut que j'aille prendre mon déjeuner, hein ! Bin oui, chez nous on dîne à midi, on soupe au soir mais l'matin on déjeune, hein, comme des vraies idoles hein, nom d'un Smet.

Surréalisme et Speculoos ( qui vient de spéculer, ah ah warum? sagt warum? et là c'est un quouize un vrai avisss aux amatrices (ou teurs)

(tou bi continuhed) quoique, une tite sieste après manger .....